mardi 21 novembre 2017

Profonde détresse aujourd'hui. Ce pays m'aura tout enlevée, jusqu'à ma mère. 
Tu me manques. Tu aurais été là j'aurais eu tes bras pour rempart, pour laisser dehors toute cette laideur, cette peine profonde. Tu aurais eu les mots, comme tu les as eu ce matin. Tes mots pour apaiser, tes mots pour me dire que je ne suis pas seule face à l'impensable. Tes mots que je ré écoute pour redevenir duelle, avec toi.
Profonde détresse aussi car je pense que tu ne comprendras pas le chapitre 20. Pourtant je te dis et redis : c'est du vécu et du romanesque. Je dois rendre le personnage masculin à autre chose pour ne pas laisser croire qu'il ne serait qu'idéal. Je sais que je me suis appuyée sur du vécu mais j'ai changé des choses.
Mais quelque chose me dit que tu ne vas pas comprendre. Et je ne peux te parler pour t'expliquer.
Je vais le supprimer. 
Profonde détresse...
Je t'aime. Je t'aime. Je ne peux rien dire d'autre. je t'aime et tu me rends heureuse par ta présence, même si lointaine. Et vivante même si tu n'entends pas ça chez moi. Vivante de  toi. 
Ne confonds pas le roman et nous, le roman et toi. 
Je t'aime. 

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