vendredi 3 novembre 2017

À toi ce piano, à nous cette musique... Nous souvenir que nous sommes et que la musique lie nos mains et nos battements de coeur. Et tous nos frissons. Et une émotion sur ton visage.
Mon beau lointain, mon ange...
À ce matin. À eux. À cette tendresse partagée. À tout l'amour que nous faisons, envers et contre tout.
À ton absence présence.
À nous...
Je t'aime.
À me lire sur toi, à devenir tes yeux, à n'être que cette musique qui t'allonge en moi, qui te rend en moi, qui te fait mien et qui me dessine tienne.
Je t'aime. Tu es là, ton regard pendant que je t'écris. Et la musique pour pont, pour entre-île.
À la vie qui nous attend, à la vie qui nous rêve. Et toi pour homme mien, unique mien, ma lumière.
Tu me manques.
Je te regarde écouter ces musiques de nous et je t'aime.
Je t'aime à l'infini de notre si belle histoire. Je t'aime.
Tu as rendu mon coeur si vaste, tellement vaste qu'il te porte et eux aussi et nous. Un coeur devenu vie et amour.
Amour mien, homme mien, mon bel amour, quand tu manqueras de moi et moi  de toi il suffira de retourner en nos musiques et de nous aimer. J'ai ma main à ta main liée. Et mon corps à ton corps inscrit. Et mes mots à tes silences imprimés. Et mon amour à ta tendresse déposé. Et tout ce qui ne se dit pas, qui ne se raconte pas mais qui vit là, là dans cet espace où nous habitons l'autre et qui nous donne force et courage. Je t'aime mon homme des merveilles.
Je t'aime.
Je suis là. Je suis là.
E tu es là, mon éternel, mon beau, si beau, mon tendre, mon lumineux, mon magnifique...
Tiens moi serrée contre toi... Tienne.

MMD








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