mardi 12 septembre 2017

À  toi, aimé par moi, aimé mien... à toi ce piano tiré du documentaire sur Tabarly, pour te rappeler que des mers t'attendent, même si tu n'y crois plus. Et parce que j'y crois très fort j'espère te rendre tes rêves et tes ailes...
Je t'aime, amour mien... Même dans tes silences, dans ces jours qui passent sans toi... Je t'aime.
Je t'aime dans mes rires, dans mes pleurs, dans mes envols, dans mes mots, dans ma vie devenue entre-île et entre-toi. Je t'aime dans mes désespoirs et dans mes musiques. Je n'ai pas de recettes miracles pour adoucir, mais je sais que chaque heure se vit en toi, en nous. Chaque heure. Chaque souffle. Chaque battement de mon coeur. Chacun de mes regards. Et toutes mes paroles orphelines et toute mon écriture rendue lumière par la magie de ton amour.
Tu me manques. Je vis tous ces jours où tu n'es pas, même pas dans un petit mot envoyé par delà les kilomètres.
Je n'ai que ton absence pour t'aimer, mais aussi ta présence. Je relis tes petits mots, je ré écoute ta voix sur un message.
Tu me manques homme mien.
Me tiens-tu encore en toi, là où je peux écouter ton coeur battre, là où je peux enfin devenir paix? Dans tes souvenirs me rends-tu à tes sourires et à l'émotion? Dans ta mémoire est-ce que je danse encore?
Je t'aime. Tu me manques à en mourir, à en perdre le souffle. Je n'y peux rien. Je ne veux pas lutter contre ça. Je sais que c'est cela la couleur de ton absence. Je tiens, je me tiens droite, même si je pleure parfois quand tout chavire en moi et que je te revis.
Homme mien, mon bel amour, aimé mien.
Je t'aime et je sais qu'un jour tu viendras. C'est aussi cela notre Lettre Infinie : rien ne meurt. Rien ne meurt.
Avoir trouvé son atome et l'entendre dans sa mémoire, lui dire l'amour, lui dire des rires de mômes, des vents, des étoiles, des vents, des mers, des voyages, des petits matins à venir et des nuits simples, des bouts de terre et un endroit où finir la route, se poser dans le regard de l'autre et dans des espaces rendus à la simplicité des choses... Je t'aime.
Te raconter qu'un jour tu m'as rendue à moi en me permettant de t'aimer, en me laissant t'aimer. Et en m'aimant, en m'offrant l'homme que tu es, en te déposant en moi. Et en m'offrant une vie, imparfaite, difficile, mais une vie. Je t'aime.
Ne sois pas cruel, ne sois pas...
Je t'aime. Tu me manques. mon magnifique, mon tendre, mon si tendre... Je t'aime. Merci pour ces étoiles qui dansent dans des yeux, merci pour cette étoile ramenée à une femme aimée. Merci pour la poésie du geste. Je t'aime.
Tu vas encore venir habiter ma nuit et mon sommeil.
Je t'aime.

MMD



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