mardi 2 mai 2017

Toujours cette sensation d'allers retours permanents en moi, entre ma raison et ma passion. Percuter tous mes bords... Et toi en centre de tout.
Quand la raison me parle, je n'entends que mon coeur. Pourrais-je vivre sans coeur? Pourrais-je vivre sans toi en Lettre Infinie? Pourrais-je respirer? Pourrais-je voir et sentir?
Toi en centre de tout, de mes vies devenues cet espace que tu habites.
Ne rien avoir, tout posséder quand même. Rien et tout. Moments beaux et fragiles. Si fragiles.
Je possède le regard que tu as posé sur moi, celui qui est là quand je ferme les yeux, ces moments intenses où tes yeux accrochaient mes yeux et que le monde s'effaçait autour pour renaître en moi et sur ma peau.
Il est à moi ce regard, tu ne pourras jamais me l'enlever. Comme mes mots sont à toi.
Je suis là, à une frontière où je ne parle pas, où j'attends. J'y ai mis de la musique pour la couleur et pour que le temps soit moins pointu.
Je suis là. Je serai toujours là pour toi, quand rien n'ira dans ta vie ( et tu auras de ces moments désespoir), quand tu auras besoin de savoir qu'une femme t'aime tellement qu'elle s'est effacée au reste des choses pour être ton refuge, ton coeur, des bras, une présence...
Je t'aime. Je suis bien dans cet amour , malgré les manques.
Parfois je te les dis ces manques, ma faim d'amour. Parfois je les tais. Parfois je les vis.
Et, parfois, j'ai ce petit geste qui m'apaise, cette petite urgence de moi qui me rend si heureuse.
Je t'aime mon homme de l'horizon, mon homme tout simplement, mon amour de ma vie.
Je suis assise à ce bureau, dans la musique de nous. Je te rêve. Je te pense. Je te sens. Je t'écris.
Je t'aime.

MMD

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