dimanche 9 avril 2017

Et ta peau pour érotismes....

Notre séparation est déchirement, meurtrissure, bleu au coeur et à l'âme. Toujours. Avec cette sensation de manquer d'air. Un manque.
Comment puis je aimer à ce point ? Mais existe t'il une échelle des sentiments amoureux? Non, je ne le crois pas. Ce serait pathétique que ce morcellement de l'amour. Une piètre exhibition.
Je t'aime. Je vous aime. Vous êtes un tout.
Je t'aime en tendresse. Je t'aime en appels érotiques, en désirs. Je t'aime en tout.
Aujourd'hui j'étais femelle. Je regardais ta bouche et je mourais d'envie de ta langue, de ta salive, de ton goût. Je n'étais que frissons que je tentais de camoufler, cette diagonale du désir et du sexe, de l'amour et du sexe. Je te regardais, ta peau, tes mains, ta couleur et, dans ma tête, dans mon ventre, j'étais femme ouverte, femme en envies, femme en jouissance, femme...Celle que tu fais vibrer en la touchant. Celle dont tu ouvres la bouche et le corps. Celle que tu fouilles, moiteurs, odeurs, plaisirs. Celle que tu plies. Celle à qui tu offres les mots crus des jeux sexuels. Celle qui te demande de l'ouvrir encore et encore, de la prendre. Celle qui fait d'un acte d'amour un monde en soi. 
Et ta peau pour seul élan.
Je t'aime. Je t'aime en tout cela. Entier. Unique. Vibrations de toi. Vagues en moi.
Je te veux sous ma bouche. Je te veux en moi. Je te veux. Je te désire. C'est une brûlure. 
Aucun homme ne m'a chamboulée ainsi, sexuellement et spirituellement. Aucun.
Je t'aime mon magnifique animal. Je t'aime. J'ai envie de toi. Permanence et rappel de la lumière...
Je t'aime merveille d'homme mien. Ouvre moi et rends moi chaleur, feu.
Je t'aime parce que c'est mon évidence. Je te désire parce que je t'aime. Je t'aime parce que tu es mon érotisme. Mes fantasmes. Mes attachements. Mes soumissions. 
Sais tu que même ton regard me rend femelle? Alors je t'écris ceci pour que tu entendes le désir quasi animal, l'attraction, mes cuisses, mon sexe, toi en moi, tes reins, ta langue, tes doigts, ma bouche, mes lèvres, ma langue....
Et aujourd'hui je t'ai beaucoup écrit. Parce qu'il y a des jours ainsi... J'ai le corps en fourmillements. J'ai l'âme en danses. 
Pudeurs et impudeurs... Fiertés. 
Je t'aime.

MMD

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